Lithothérapie
L’histoire de la lithothérapie
L’histoire de la lithothérapie remonte à l’Antiquité. Dès lors, civilisations après civilisations ont attribué aux pierres des pouvoirs curatifs, protecteurs, et spirituels. Les Égyptiens, par exemple, utilisaient lapis-lazuli pour la protection et la santé, ou encore le turquoise pour la guérison. Les Grecs se servaient de l’améthyste comme antidote contre l’ivresse.
Au Moyen Âge, la lithothérapie s’entremêle avec les croyances alchimiques et astrologiques, les pierres étant associées à des planètes ou des signes zodiacaux pour renforcer leurs supposées propriétés. Cette période voit aussi l’usage des cristaux dans les pratiques religieuses et de guérison.
À l’époque moderne, la lithothérapie, bien qu’éclipsée par l’avènement de la médecine basée sur la science, survit dans les pratiques alternatives de bien-être. Aujourd’hui, elle connaît un regain d’intérêt, portée par un mouvement général vers les médecines douces et les thérapies holistiques, même si son efficacité reste sujet à débat dans la communauté scientifique.
Le principe de la lithothérapie
La lithothérapie est une pratique qui se sert de l’énergie des pierres pour favoriser un bien-être physique et psychique. Elle repose sur l’idée que les pierres et les minéraux émettent des vibrations, des fréquences capables d’influencer le corps et l’esprit de celui qui les porte ou les place à proximité.
Dans cette approche, chaque pierre possède des propriétés spécifiques : certaines sont réputées pour apaiser, d’autres pour dynamiser, certaines encore pour aider à la concentration ou à la méditation.
La lithothérapie se pratique en portant ces pierres sur soi, en les disposant dans un lieu de vie ou encore en méditant à leur contact.
Bien qu’elle soit populaire et que de nombreuses personnes témoignent de ses bienfaits, la lithothérapie n’est pas reconnue par la science médicale. Elle est souvent considérée comme une pratique complémentaire, cherchant à harmoniser le corps et l’esprit.
